Auteur : Markus ZusakEditions : Pocket Jeunesse (2007)
Nbre de pages : 559
Présentation de l'éditeur :
Un roman où il est question : d'une fillette, de mots, d'un accordéoniste, de fanatiques, d'un boxeur juif, d'un certain nombre de vols... C'est la Mort elle-même qui raconte cette histoire. Dotée d'un humour noir, sarcastique, mais compatissant, elle est témoin de la folie des hommes. Tout semble perdu d'avance, sauf quand se distinguent des enfants rebelles et des Allemands qui n'obéissent pas aux règles... Quand la mort vous raconte une histoire, vous avez tout intérêt à l'écouter !
Mon avis :
Au début, je n'étais pas très enthousiaste pour lire ce livre. En avançant dans ma lecture, il m'a de plus en plus intéressée de sorte que je vous le recommande.
Cette histoire, allez soyons honnête, est bouleversante et peu toucher le plus dur des coeurs...
La petite Liesel est un personnage qui m'a plu pour son ignorance et pour son audace.
Rosa, la mère adoptive de Liesel, a aussi été à mon goût mais c'est surtout sa manière d'aimer Liesel qui est déroutante qui m'a touchée.
Pour Hans, le père adoptif de Liesel, je dirai que c'est sa sagesse et sa générosité qui m'ont plu.
La dévotion de la famille pour sauver Max (le juif qu'ils ont recueilli et qui est devenu l'ami de Liesel) ne m'a pas étonnée plus que ça vu leurs différents caractères (Hans est sage et généreux et Max est son ami ; Liesel s'est attachée à lui parce qu'ils vivent des choses identiques (cauchemars) ; la mère malgré son caractère colérique est pleine d'affection pour lui).
En général, cette histoire racontée brillamment par la Mort elle-même est fabuleuse. Et je ne vous cacherai pas que j'ai pleuré à la fin.
Au début, je n'étais pas très enthousiaste pour lire ce livre. En avançant dans ma lecture, il m'a de plus en plus intéressée de sorte que je vous le recommande.
Cette histoire, allez soyons honnête, est bouleversante et peu toucher le plus dur des coeurs...
La petite Liesel est un personnage qui m'a plu pour son ignorance et pour son audace.
Rosa, la mère adoptive de Liesel, a aussi été à mon goût mais c'est surtout sa manière d'aimer Liesel qui est déroutante qui m'a touchée.
Pour Hans, le père adoptif de Liesel, je dirai que c'est sa sagesse et sa générosité qui m'ont plu.
La dévotion de la famille pour sauver Max (le juif qu'ils ont recueilli et qui est devenu l'ami de Liesel) ne m'a pas étonnée plus que ça vu leurs différents caractères (Hans est sage et généreux et Max est son ami ; Liesel s'est attachée à lui parce qu'ils vivent des choses identiques (cauchemars) ; la mère malgré son caractère colérique est pleine d'affection pour lui).
En général, cette histoire racontée brillamment par la Mort elle-même est fabuleuse. Et je ne vous cacherai pas que j'ai pleuré à la fin.
J'ai adoré cette lecture, elle est très originale et très bien écrite, mais parfois un peu longue.. J'ai bien aimé le fait que ce soit La Mort qui parle, pourtant et moins qu'elle nous spoile la fin.... Ça gâche l'effet de surprise :-/
RépondreSupprimerOui, c'est sûr, ce sont les points forts du roman ^^
SupprimerJe ne me souviens pas l'avoir trouvé trop long, pour ma part.